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Trouver le bonheur : stop à ces dix idées reçues

Parfois, on pense que trouver le bonheur est difficile… Pourtant, oui, il existe : mais nos croyances le concernant lui font la vie dure. Découvrez notre top dix des idées reçues sur le bonheur
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Trouver le bonheur  n’est pas une science exacte… C’est un cheminement, un voyage. Dans cet article, je voudrais partager avec vous mon top 10 des idées reçues sur le bonheur que j’entends fréquemment et vous partager un petit peu de ma vérité sur le bonheur à moi ;

Parce que lorsque ces croyances sont installées, il est parfois bien difficile d’avancer !

Idée reçue numéro un : “l’argent ne fait pas le bonheur”

 J’ai déjà développé cette idée que l’argent ne fait pas le bonheur. C’est faux, jusqu’à un certain seuil. Et ce seuil au-delà duquel l’argent ne fait vraiment pas du tout le bonheur, est évalué à environ 5000 € par mois.

Vous vous dites sûrement que c’est beaucoup. Alors que se passe-t-il en dessous de ce seuil ? Et bien la vérité, c’est qu’au-delà d’un seuil qui nous permet de répondre à nos besoins primaires, tels que se nourrir, boire, avoir un toit pour dormir, se soigner… l’argent ne fait presque pas le bonheur.

Et plus vous vous éloignez de ce seuil de satisfaction des besoins primaires, plus vous vous rapprochez de 2 000€, 3 000€, 4 000€ voire 5 000 €, moins votre argent a effectivement d’impact sur votre bonheur.

Donc pour être exacte, l’argent fait le bonheur lorsqu’on est proche du seuil de pauvreté. L’argent ne fait presque pas le bonheur entre ce seuil et le seuil de 5 000 € par mois. Et l’argent ne fait pas du tout le bonheur au-delà de 5 000 € par mois.

Idée reçue numéro deux : “je serai plus heureuse quand…”

 On a toujours l’impression qu’on sera plus heureuse quand on aura fait quelque chose.

  • Quand on aura changé de travail
  • Quand on se rendra en vacances
  • Quand on aura déménagé
  • Quand on aura 18 ans, ou 25 ou 30…

Or, derrière chaque “je serai plus heureuse quand…”, il y a une illusion.

Derrière cela, il y a ce qu’on qualification de phénomène d’habituation hédonique. En réalité, non, nous ne serons pas plus heureuses quand nous aurons vécu ceci ou réalisé cela. Quoi qu’il se passe, nous nous habituerons et nous serons plus ou moins aussi heureuse qu’aujourd’hui.

Prenons l’habitude d’identifier ces “je serai plus heureuse quand” et de bien noter qu’en réalité, toutes les conditions de notre bonheur sont déjà réunies ici et maintenant 🙂

Idée reçue numéro trois : “tout quitter pour être heureuse”

 On a souvent le sentiment que pour être plus heureuse, il faudrait un changement radical dans notre vie. J’entends par-là un changement dans notre environnement de vie, un changement dans ce que nous vivons.

La vérité, c’est que la véritable marge de progression n’est pas de changer ce que nous vivons, mais de changer la façon dont nous le vivons. Tout quitter pour repartir à zéro n’est, bien souvent, pas la solution.

Parce que quoi qu’il se passe autour de nous, changer les circonstances extérieures de notre vie n’aura un impact qu’à hauteur d’environ 10 % de notre bonheur.

Ce pourcentage a été mis en avant par des études en psychologie positive. Le véritable levier, ce sont les 90 % restants : notre état d’esprit, notre vision des choses, notre représentation de la réalité, nos intentions.

Idée reçue numéro quatre : “le bonheur, c’est inné”

En réalité, le bonheur c’est comme toute chose, ça s’apprend.

Alors il est vrai que pour certaines personnes, cela semble plus naturel que d’autres. Il est des personnes qui naissent avec davantage de résilience, une nature plus optimiste, une persévérance plus importante, une confiance en soi plus importante. Mais dans la grande majorité des cas, être plus heureux, ça s’apprend.

Il existe des habitudes, il existe des pratiques, il existe des méthodes, des techniques, des outils (mais ne nous abritons pas derrière ces concepts très intellectuels…. les choses les plus efficaces en la matière sont les plus simples!) dont il a été prouvé que l’utilisation rend significativement plus heureux au quotidien.

La bonne nouvelle, c’est que cela s’apprend.

C’est un apprentissage, ce n’est pas facile, ce n’est pas instantané, il y a des efforts à fournir, il faut faire preuve de volonté. Mais tout le monde peut l’apprendre et augmenter significativement son niveau de bonheur, son impression d’être pleinement heureux au quotidien.

Idée reçue numéro cinq : “le bonheur, c’est gratuit”

En tant que coach et formatrice en épanouissement personnel, j’entends souvent cette remarque.

Pour moi, il y a 2 choses derrière cela.

L’une est entièrement vraie à mon sens, l’autre peut être à nuancer.

1ère idée : les choses qui sont à mêmes de nous rendre le plus heureuse sont gratuites, elles ne se voient pas, elles sont de l’ordre de l’invisible, du non palpable. Une maison, une voiture, un séjour au soleil, ne sont pas nos plus beaux leviers vers nous-m’aime 🙂

Nos plus beaux leviers sont en nous : écouter, observer, choisir l’amour, accueillir la peur, faire de l’alignement un processus, un art de vivre.

2ème idée : payer en échange d’un service qui m’aide à développer certaines de ces compétences n’a pas lieu d’être, ce devrait être gratuit. C’est ici que bien sûr une nuance est nécessaire.

Dès lors qu’un service nous aide à réaliser quelque chose qu’on ne parvient pas à faire seule, et que la personne qui nous le rend est incarnée dans la matière, il n’y aucune raison de ne pas procéder au même système d’échanges que dans les autres domaines : argent, ou éventuellement autres services.

C’est en ce sens que j’aime à nuancer cette affirmation.

En matière de développement personnel, l’accompagnement de personnes plus éveillées que soi est un vrai cadeau à se faire, et l’argent utilisé en cela contribue à mon sens de la plus belle des façons à un monde meilleur.

Si ces accompagnements (tels que celui que nous proposons, via le programme Expérience) ne vous sont pas accessibles, sachez que beaucoup d’outils sont aujourd’hui accessibles (vous trouverez des articles de cœur écrits sur tous les thèmes qui vous préoccupent / intéressent sur ce blog, ou sur ma chaîne YouTube).

Un seul point d’attention : n’oubliez pas que le développement personnel  intellectualisé, c’est du vent… pire, cela peut devenir contre-productif, en nous installant dans une forme de connaissance conceptuelle qui nous éloigne de notre Vérité.

Idée reçue n°6 : “le bonheur, c’est profiter de l’instant présent”

 On entend tout un tas de choses sur le bonheur et le présent, et parallèlement, tout un tas de choses sur l’importance de se fixer des objectifs (donc préparer le futur).

Alors que dit réellement la psychologie positive du présent et du futur en matière de bonheur ? La réalité, c’est qu’une étude menée à grande échelle auprès de 15 000 personnes a effectivement identifié que le critère essentiel qui joue un rôle sur notre niveau de bonheur est l’attention que l’on porte à ce que l’on est en train de faire.

Porter pleinement son attention sur ce que l’on fait, sans penser au passé ou au futur, contribuer à augmenter de façon significative son impression de bonheur.

Donc oui, le bonheur dépend de notre attention à l’instant présent. Et au passage, on soulignera que peu importe ce que l’on fait, l’essentiel est d’être attentive à ce que l’on fait, d’être pleinement consciente et impliquée.

Que dire du futur alors ? Est-il important en matière de bonheur de se fixer des objectifs ?

La réponse est également oui.

Se fixer des objectifs et les atteindre contribue également à notre niveau de bonheur, mais à une condition : que ces objectifs ne visent pas uniquement un intérêt personnel, mais soient au service de l’autre, qu’ils servent un intérêt commun.

C’est un constat que j’ai la chance d’opérer chaque jour dans mes accompagnements… revenir à soi et écouter son cœur, cela amène toujours à l’autre.

Idée reçue n°7 : “pour être heureux, il faut arrêter de chercher à l’être”

 On parle souvent de cela, de la pression liée à la quête du bonheur. Trop vouloir être heureuse nuirait-il à notre bonheur ?

En réalité, comme bien souvent, oui et non. Une fois de plus, je crois que tout est dans la nuance. Si l’on n’a pas le sentiment d’être spontanément heureuse, il est au contraire important de chercher à l’être, de connaître les bonnes pratiques et surtout, surtout, de les mettre en pratique, de les intégrer à son quotidien, de les ressentir, de les vibrer.

Attention à l’interprétation que l’on peut avoir de la pensée positive. Il ne s’agit pas d’être positive au prix de vouloir cacher le négatif, au prix de vouloir supprimer la tristesse, la colère, la peur. Je crois que c’est l’écueil que l’on peut rencontrer dans cette quête du bonheur.

La vérité c’est que le bonheur, c’est cultiver les émotions positives, (surtout celles qui sont la voix de notre âme), mais également accueillir les émotions dites négatives (je préfère désagréables, car elles peuvent jouer un rôle très positif sur notre chemin). Et je crois que c’est en ce sens-là, si on se focalise sur les émotions positives, et qu’on cultive malgré soi une sorte de honte de ses émotions négatives, que la quête du bonheur peut devenir une pression.

Il est donc important de chercher à être heureuse, mais cela passe aussi par l’acceptation de nos moments difficiles, car ils font tout autant partie de nous, et sont l’expression de notre pouvoir créateur.

Parfois, on pense que trouver le bonheur est difficile… Pourtant, oui, il existe : mais nos croyances le concernant lui font la vie dure. Découvrez notre top dix des idées reçues sur le bonheur
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Idée reçue n°8: “être heureux permet de vivre plus longtemps”

 Ça fait partie des choses que l’on dit sur le bonheur, mais dont on n’est pas sûres qu’elle soit vraie. Que dit la science du bonheur et de la santé ?

Autrement dit, est-ce que ça vaut le coup de passer du temps à essayer d’être plus heureuse en matière de longévité ? A-t-on des années de vie à gagner ? Et si oui, combien ?

(Voyez au passage l’approche utilitariste de la question :-))

La vérité, c’est que toutes les études convergent à montrer l’impact très fort du bonheur sur tous nos indicateurs physiques et notamment sur la longévité. Toutes les études montrent qu’être plus heureux permet de vivre plus longtemps.

Que ce soit la célèbre étude des nonnes, ou d’autres réalisées ultérieurement, toutes sont d’accord… sauf sur le nombre d’années que l’on aurait à y gagner 🙂

Pour certaines études, ce serait deux ans, pour d’autres études sept ans.

Dans tous les cas, les indicateurs physiques sont bien meilleurs lorsqu’on est heureux : bonheur et santé sont étroitement liés.

Ça paraît peut-être évident, mais c’est encore mieux quand c’est prouvé scientifiquement.

Idée reçue n°9 : “chassez le naturel, il revient au galop”

 Vous le savez, je me méfie largement des dictons populaires, et celui-ci m’embête particulièrement.

Certes, il contient une part de vérité : transformer une habitude demande de la persévérance. Ce n’est pas simple et la tentation est parfois grande de refaire comme avant et d’abandonner. Mais il laisse sous-entendre que changer n’est pas possible. Or, c’est faux.

Il est possible de changer, tout au long de la vie. Il est possible d’arrêter une mauvaise habitude, d’en installer une nouvelle, tout est simplement affaire de volonté et la volonté s’exerce, comme un muscle.

Des études ont montré l’impact entre nos habitudes et notre cerveau, et ont démontré ce que l’on appelle la neuroplasticité du cerveau ; sa capacité à évoluer.

Les études ont également montré que chaque jour, 1 % de nos cellules sont renouvelées. Cela signifie donc qu’en 100 jours, la totalité de nos cellules est renouvelée. Et la bonne nouvelle, c’est que les émotions que l’on a ont un impact et affectent les cellules lors de ce renouvellement.

Cultiver les émotions positives, celles qui vont dans le sens de notre cœur, permet donc de changer physiologiquement, de créer le changement physiquement dans nos cellules.

Donc oui, changer demande un effort, mais quel apprentissage n’en demande pas ?

Idée reçue n°10 : je n’ai pas besoin d’aide, je sais ce que je dois faire

 En matière de bonheur, comme dans tous les domaines, savoir ce qu’il faut faire c’est une chose, mais ce n’est pas l’essentiel.

L’essentiel, c’est de faire, de passer à l’action, de mettre en pratique. Savoir les outils sans les utiliser, ça ne sert à rien, ça ne fonctionnera pas.

« Si je sais mais que je ne suis pas, alors je ne sais pas ».

Être plus heureuse c’est d’abord connaître les outils, mais c’est surtout apprendre à mettre en place de nouvelles bonnes habitudes. Et comme toute chose, mettre en place des habitudes et activer/réactiver la motivation, ça s’apprend. Ça se travaille.

Être suivie par un coach ou mettre en place un co-coaching avec une amie ou un groupe, c’est un des leviers que je vous recommande vraiment d’utiliser pour garder le cap du changement sur la durée.

Faire toute seule c’est possible. Mais accompagnée, en vous engageant, vous avez encore plus de chances d’y arriver.

Et au-delà de cette dimension très mentale, très technique du « faire », il y a l’être.

Le cœur de notre sujet, c’est être.

Ressentir.

Vibrer.

Pour en savoir plus sur cette approche, la mienne, celle de l’être, du ressentir, du vibrer comme base de notre cheminement personnel, je vous propose de vous inscrire à ma conférence en ligne que je tiens prochainement.

Elle propose notamment cinq étapes clés pour créer une vie qui vous ressemble (je reprends l’essentiel du cheminement suivi avec mes clientes, et des pratiques concrètes).

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Voilà pour ces 10 idées reçues sur le bonheur. En connaissez-vous d’autres ?
Je serais ravie de les découvrir en commentaires, cela me permettra d’y répondre dans un article futur.

Lien Youtube:
https://youtu.be/cLdC4BM0sQc

Crédits musique:
One option de Nikolas Weber

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Mylène

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2 Responses

  1. Hey ! J’aime ce passage d’article : « je serai plus heureuse quand »… je me reconnais bien là ^^ !

    Je serai plus heureuse quand j’aurai changé de job ! Je serai plus heureuse quand j’aurai une maison, je serai plus heureuse blabla… toujours plus !

    Et une fois l’étape passée, on ne prends pas le temps d’apprécier ce moment de réussite et on retourne dans ce cycle infernal du toujours plus !

    On a toutes des points communs 🙂

  2. Je me retrouve bien dans cet article, qui est bien nuancé.
    Le « je serai plus heureuse quand » me parle… J’essaie de plus en plus de chercher le bonheur en moi, et dans l’ici et maintenant, pour éviter d’avoir des attentes trop grandes et être de nouveau insatisfaite.

    Merci pour ce partage Mylène, ça fait réfléchir !

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